Quel sont les risques de lymphome anaplasique à grandes cellules ?

L’éventuel sur-risque du (LAGC) lymphome anaplasique à grandes cellules est très rare chez les femmes portant des implants mammaires. Il est tout de même étroitement contrôlé par les chirurgiens plasticiens de l’implant mammaire. La maladie implique un emballement de la multiplication des lymphocytes T autour de la prothèse.

A quoi est dû un LAGC ?

A présent, les raisons restent méconnues. Personne ne peut confirmer si le LACG peut se propager ou à quelle vitesse ceci peut être fait. Ce qu’il faut faire c’est commencer par extraire un échantillon du tissu de la capsule autour de l’implant mammaire, et une partie du liquide pour que ça soit examinée et évaluée par le médecin. Ensuite, selon l’étendue de la maladie, opter pour une radiothérapie ou une chimiothérapie. Dans ce contexte il faut aussi rappeler que cette tumeur peut arriver à des personnes qui n’ont jamais eu d’implants.

Est-il vrai que les implants texturés présentent plus de risque de LAGC ?

Qu’elle soit lisse ou texturée, la surface de votre implant mammaire n’a rien à voir avec le sur-risque d’un lymphome anaplasique à grandes cellules. Idem pour la matière que ce soit en gel de silicone ou à base de solution saline.

Quels sont les symptômes d’un lymphome anaplasique à grandes cellules ?

Les symptômes d’un LAGC incluent une douleur persistante, un gonflement et / ou le développement d’un hématome-sérome. Le diagnostic peut être confirmé par l’évaluation soit d’un fluide de sérome ou d’un tissu de capsule du sein.

Y a-t-il eu de nombreux cas de patientes atteintes du LAGC ?

Vue l’extrême rareté de la maladie, à présent, il s’avère qu’il est difficile de quantifier le nombre de personnes atteintes par cette tumeur. Certes, le sur-risque reste minime mais aussi probable. Ceci nécessite plus de surveillance et de suivi sans inciter à une inquiétude excessive.

Y a-t-il un remède ?

Il faut procéder à une ablation chirurgicale de l’implant de la capsule fibreuse de crainte que la prolifération lyphomateuse se complique.